De la
ravauderie étoffée de cancanes clappées,
Se laissait
séduire… encoffrant de ses peurs
L’insupportable
transmue… de la torpeur
Dont elle se
claustrait, ce bancal parapet,
Fusaient des
mercuriales : vertes remontrances
En difformes
censures… peu s’en fallait
Qu’elle enclouât
l’affront, que peu à peu fêlait
Les gausseries
du noble ironisant la transe.
Fût-ce un
heurtoir de trop ?... Trop de velléités
En ces métamorphoses :
stériles agayons
D’une
pensée flétrie, un savoir en haillons
Occulté,
aux primales suées, de la gent effrontée :
Celle la
même qui, aux loges princières, clabaude
Sans retenue
aucune ; celle la qui, aux moites ides,
Dénerve la
constance de prêches impavides :
Intraduisible
supin ou… vespérales laudes.
En devenir
de femme, sous sa peau de candide,
S’évaporaient
du trouble permanent, les volutes
D’un sophisme
lié de brèves anacoluthes
Au stupre
peu rétif aux licencieux désirs.
Du perron,
aux chancelantes marches franchies
De folles
serves, son enveloppe ténue biaisait
Du temps à
naître, la gradation ; en blessait
Le turgide habitacle
ceint de cris avachis.
En elle, le
possible signait sa récréance… les muses
L’envieraient,
s’il leur était donné d’accéder
Aux degrés_
sans ce confiscatoire _ pour céder
Aux riches
aiguillons d’Eros… qui s’en amuse.
Filles ennuagées
de rêves, amorties de plaisirs
Au baldaquin sans limites conquises,
Vous feriez
vous novices, permutées d’entremises,
Si l’iconique
vierge translatait le désir ?
Si aux aubades cuivrées d’un guaglione :
Mutin pinçant
mandole, perceviez silence,
Faudrait de ce temps rapiécé, s’il s’élance,
Retenir le
passé, pour céans, en délier dragonnes