L’envie d’aller
plus loin ne guérit pas du mal
Dont on se
fait laptot… il y a, chaque jour,
Dit-on_ du germe
inhibitif, cet inutile ajour,
Aux rustres
épissures, coulures lacrymales
Sur la peau
de nos vies… en quinconce parfois ;
Naître du
mal d’aimer, aux grelots de l’appel,
Fragilise
un peu plus, l’âme cochée du scalpel
De ces fiers
nihilistes démunis de la foi…
La peur de
méconnaître le sujet disgracié,
La crainte
de déprécier l’émule, ce séide
Privé du
nard impulsant l’aldéhyde
Aux carbonifères
savamment appréciés,
Emascule l’ambitieux
aux portes du savoir,
L’adroite
sentinelle épiant sous guérite…
Ne se peut
refuser au lettré émérite,
Le droit de
seul, jouir du louable avoir :
Cette digne
richesse : honorable aisance
Acquise sans
resquilles, ni cessibles bernes !
Du vexant lupanar
de chattes alaternes :
Contrefaites
boutures formolées d’acescence.
Le besoin
de s’aliéner aux inspirateurs,
Affecte l’ingénue
d’un carmel de béguines,
Le candide
d’un cloître monastique ; s’y incline
Le simplet
privé de liberté : suppôt du tentateur.
Le désir de
s’offrir, et sans contrepartie,
Aux Divines
Lois : Célestes Prérogatives,
Fait accéder
Au Trône sis hors des dérives
D’agnostiques
servants aux accords bipartis.